Le républicain a déclaré en plaisantant à la presse qu’il serait son « premier choix » pour devenir le prochain chef de l’Église catholique. ÉTATS - UNIS - « J’aimerais être pape ». Donald Trump, qui ne cache pas sa volonté de se faire élire une troisième fois en 2028 -même si la Constitution l’en empêche- a ironisé sur un nouveau projet ce mardi 29 avril. Interrogé par des journalistes sur la succession du défunt pape François, le président américain a déclaré en plaisantant qu’il serait son « premier choix » pour devenir le prochain chef de l’Église catholique. Des propos qui surviennent alors que Donald Trump fête ce mardi ses cent premiers jours de second mandat dans le Michigan. « Vous avez quelqu’un en tête [pour succéder au souverain pontife] ? », l’interroge un journaliste. Donald Trump rétorque alors : « Ouai, j’aimerais être pape. Ce serait mon premier choix. », comme vous pouvez l’entendre dans cette courte vidéo. La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous. Comme le souligne Politico, Donald Trump, qui, en plus d’être très occupé par ses fonctions de président des États-Unis, est un milliardaire marié trois fois. Un CV loin d’être idéal pour être choisi à la tête de l’Église catholique. Un peu plus tard, et plus sérieusement, le chef du Bureau ovale a déclaré ne pas « avoir de préférence » sur le remplaçant du pape François. Avant d’ajouter : « Je dois dire que nous avons un cardinal qui se trouve être originaire d’un endroit appelé New York et qui est très bon », faisant référence au cardinal de New York, Timothy Dolan. En revanche, un autre projet est régulièrement évoqué par le républicain : celui de se représenter une troisième fois à la présidentielle. Lors de son meeting dans le Michigan, la foule a scandé « Trois ! Trois ! Trois ! » et a appelé à sa candidature pour un troisième mandat. Donald Trump a fini par leur répondre en affirmant qu’il a déjà été élu président trois fois depuis « sa victoire en 2020 ». Une affirmation fausse puisque le républicain a perdu face à Joe Biden, mais ne reconnaît pas sa défaite. La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous. Celui qui a déjà été président de 2017 à 2021 peut rêver d’un troisième mandat, mais le 22e amendement de la Constitution prévoit que « personne ne peut être élu plus de deux fois au poste de président ». Et même s’il lui était permis de se représenter, le président américain voit sa cote de confiance glisser nettement dans plusieurs enquêtes d’opinion, tandis que les Américains lui décernent de mauvaises notes pour sa gestion du coût de la vie et sa chaotique politique sur les droits de douane. Bref, être élu président pour la troisième fois est un projet tout aussi irréaliste que de devenir pape. À voir également sur Le HuffPost : La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous. plus : Inscrivez-vous aux newsletters du HuffPost et recevez par email les infos les plus importantes et une sélection de nos meilleurs articles En vous inscrivant à ce service, vous acceptez que votre adresse mail soit utilisée par le Huffington Post, responsable de traitement, pour la gestion de votre inscription à la newsletter. Conformément à la loi du 06/01/1978