Savourant l’adulation de partisans rassemblés dans le Michigan, le président a vanté les « 100 jours les plus réussis » de l’histoire américaine et a multiplié les « punchlines ». La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous. ÉTATS-UNIS - Toutes les bêtes noires de Donald Trump y sont passées. Lors d’un rassemblement dans le Michigan, le président des États-Unis a vanté les « 100 jours les plus réussis » de l’histoire américaine et s’en est pris sans pincette à ses détracteurs. Celui qui adore être adulé a savouré plus que de raison ce bain de foule. Joe Biden « l’endormi », les médias « menteurs », les juges « communistes », les pays alliés qui « nous ont pillés plus que nos adversaires en matière de commerce », les opposants démocrates traités de « gauchistes cinglés », le chef de la Fed Jerome Powell qui « ne fait pas du très bon boulot », l’idéologie « woke » et les éoliennes... Donald Trump a enchaîné les piques et les punchlines pour le plus grand bonheur de la foule rassemblée, comme vous pouvez le voir dans la vidéo en tête d’article. Le républicain s’en est d’abord pris à ses ennemis politiques, les qualifiant de « criminels ». Son prédécesseur Joe Biden a été l’un des plus ciblés. Il a notamment accusé le démocrate d’avoir laissé les « immigrants violer et assassiner » les Américains. « Je peux annoncer que cette odieuse trahison est terminée », poursuit-il, affirmant que Washington a désormais sécurisé la frontière. Le président de la banque centrale américaine en a aussi pris pour son grade. Donald Trump a jugé que Jerome Powell faisait « mal » son travail, en estimant : « J’en sais beaucoup plus sur les taux d’intérêt, croyez-moi ». Autre bête noire de Donald Trump : les juges qui, selon lui, tentent d’empiéter sur le pouvoir du président. Il affirme que les États-Unis ne peuvent pas permettre à une poignée de juges « communistes » d’empêcher l’application de la loi. À chaque attaque, ses supporters criaient « USA, USA, USA ». Ou encore « Trois, trois, trois », appelant le républicain à se représenter une troisième fois à la présidence des États-Unis. La Constitution américaine rend toutefois impossible l’exercice d’un troisième mandat, comme vous pouvez l’entendre dans la séquence ci-dessous. « Faire campagne me manque » a lâché le septuagénaire de 78 ans, revigoré par les encouragements. La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous. Mais la joie de ses soutiens est loin de représenter la réalité sur sa popularité : les sondages d’opinion s’accordent pour constater une glissade abrupte de sa cote de confiance, nourrie principalement par les doutes sur l’économie. D’après un sondage publié dimanche par le Washington Post et ABC News, 39 % des Américains seulement « approuvent » la manière dont Donald Trump mène sa présidence. À voir également sur Le HuffPost : La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous. plus : Inscrivez-vous aux newsletters du Huff