"Un champion", Adil Rami l’impressionne !

Benjamin Labrousse - Rédacteur Malgré un double cursus Espagnol/Communication, j’ai décidé de prendre en main mes rêves en me dirigeant vers le journalisme. Diplômé d’un master en journalisme de sport, je couvre l’actualité sportive et footballistique avec toujours autant d’admiration pour les période de mercato, où un club se doit de faire des choix cruciaux pour la saison prochaine. Président de l’équipe Wolf Pack FC lors de la Kings League France, Adil Rami a décidé de faire appel à des profils différents. Jordy Mbvoumin, plus connu son nom d’artiste Beendo Z, a été drafté par le champion du monde 1998. Auprès de RMC, le rappeur du 95 s’est livré sur les grosses qualités encore présentes chez l’ancien défenseur central. La Kings League France bat son plein. Après cinq matchs disputés, le Wolf Pack FC d’Adil Rami connaît un début d’aventure compliqué. Néanmoins, la formation du champion du monde 1998 espère encore pouvoir inverser la tendance. Auteur de 2 passes décisives sur la compétition, Jordy Mbvoumin, plus connu sous son pseudonyme Beendo Z, s’est livré sur cette grosse aventure sous la direction de l’ancien défenseur central. « Les gens me connaissent un peu et savent que je suis un footeux » « J’ai vu le tweet d’Amine et j’ai demandé à mon manager de m’inscrire pour les détections. J’y suis allé, j’ai fait les ateliers techniques, les matchs et puis j’ai été sélectionné par Adil lors de la draft. J’ai suivi la Kings World Cup l’été dernier au Mexique et j’ai vu que ça avait un petit buzz, avec des vrais joueurs et du niveau. Donc quand j’ai su qu’il y avait ça en France, j’étais obligé de venir essayer. Les gens me connaissent un peu et savent que je suis un footeux, mais si je n’avais pas bien joué, je pense que je n’aurais pas été pris », a lâché l’artiste du Val d’Oise auprès de RMC Sport. « On sent qu’il y a des restes de champion du monde » Beendo Z a également évoqué sa relation avec Adil Rami : « Il vient souvent aux entraînements et parfois, il participe. Ça lui fait plaisir de jouer avec nous. On sent qu’il y a des restes de champion du monde. On n’a pas été trop au duel ensemble, c’est plus des passes ou des frappes, mais on voit l’ancien pro. Il s’entraîne beaucoup à tirer les penalties classiques et les pénalités à l’américaine, parce que ce n’est pas simple. Il prépare aussi l’émission Danse avec les stars, donc il n’a pas toujours le temps. Mais dès qu’il peut, il vient. Il très proche de l’équipe. Il nous encourage beaucoup dans le vestiaire. »