Un proche de Marion Rousse touché par la maladie, le pire est imaginé

Alexis Poch - Journaliste Titulaire d'un Master en journalisme sportif, je suis tombé amoureux du tennis dès l'enfance et j'ai toujours aimé lire les belles histoires de ce sport. Aujourd'hui, je souhaite les raconter, profiter de ma passion à fond et être au plus proche des as du circuit. Ancien coureur professionnel de 2008 à 2020, Yoann Offredo a entamé une carrière de consultant pour les grands événements cyclistes diffusés sur France Télévisions, aux côtés par exemple de Marion Rousse ou Laurent Jalabert. Récemment, il révélait avoir été diagnostiqué d'une terrible maladie pouvant lui faire perdre la vue. Le Francilien a même confié avoir pensé au pire. Interrogé par C à vous, Yoann Offredo a pu se confier à nouveau sur sa maladie après avoir vu que quelque chose clochait dans son champ de vision. L'ancien cycliste est atteint d'une forme sévère de sarcoïdose et il a dû être hospitalisé. Face au sentiment d'injustice qui dominait, il a eu envie de baisser les bras. Aperçu aux commentaires aux côtés de Marion Rousse notamment, Yoann Offredo est revenu sur le mal dont il souffre, presque un mois après son apparition dans Quelle Epoque ! Un terrible diagnostic Avec trois participations au Tour de France entre 2017 et 2019, Yoann Offredo s'est révélé au début de sa carrière comme un bon coureur de classiques, ayant comme meilleur résultat une 7ème place de Milan-San Remo en 2011. Mais ce combat face à la maladie lui est tombé d'un coup sur la tête et c'est une situation difficile à accepter. « T'as toujours fait attention à ce que tu mangeais, tu fais du sport, tu as une vie saine et d'un coup on t'annonce la maladie, tu te dis mais c'est injuste en fait. Le terme de chimiothérapie m'a beaucoup marqué » dit-il dans C à vous. Yoann Offredo a pensé au pire A seulement 38 ans, Yoann Offredo est confronté à une dure réalité puisqu'il risque de perdre la vue à terme. Ses poumons et son cerveau sont également touchés. « J'avais les volets fermés, je ne répondais plus à personne au téléphone. J'ai pris une quinzaine de kilos parce qu'en fait je prenais des corticoïdes… À quoi bon ? Est-ce que le meilleur n'est pas derrière moi ? Vous pensez au pire à ce moment-là. C'est des idées qui te traversent l'esprit forcément… Tu te dis : 'Bah attends, je suis chez moi là… Mon canapé, j'ai même pas la télé, j'ai même plus envie de lire de livres, je vois plus personne, c'est nul » avoue-t-il.