Des menaces d'Al-Qaïda contre le prince Harry soulèvent des préoccupations sur sa sécurité après la perte de sa protection officielle. Malgré des arguments puissants, la décision de retirer la protection policière reste en vigueur, et Harry doit payer plus de 1,75 million d'euros de frais juridiques. Le 2 mai, le prince Harry a perdu son procès contre le ministère de l'Intérieur britannique concernant la protection rapprochée des Sussex. Nouveau rebondissement dans le procès opposant le prince Harry au ministère de l’Intérieur britannique. Ce vendredi 2 mai, le mari de Meghan Markle a de nouveau perdu son procès. Le Sir Geoffrey Vos a penché en faveur du ministère qui avait enlevé la protection rapprochée des Sussex au Royaume-Uni. Une protection payée par l’argent du contribuable britannique. En avril dernier, le papa d’Archie et Lilibet s’était rendu au Royaume-Uni. Cela pour faire appel à la décision du tribunal en faveur du ministère de l’Intérieur. Après ces 2 jours d’audience, Sir Geoffrey Vos a déclaré que malgré les "arguments puissants et émouvants" de l’avocate du duc de Sussex, ils ne se traduisaient pas en "argument juridique" pouvant contester la décision du ministère. © Bestimage Prince Harry : une facture à plus de 1 million d’euros ! Comme l’a rapporté le Daily Mail, le prince Harry et son père, le roi Charles III, auraient des opinions divergentes sur cette affaire. Notons que cette protection policière a été retirée aux Sussex après qu’ils aient démissionné de leur rôle de membres actifs de la famille royale. Après cette défaite du duc de Sussex, le ministère de l’Intérieur demande à ce qu’il paie les factures juridiques des 2 parties. Il s’agit d’une note s’élevant à plus de 1 750 000 d’euros ! Malgré qu’il ait perdu en appel, le mari de Meghan Markle peut toujours saisir la Cour suprême. Dans le mesure où il serait prêt à continuer la bataille. Seulement, les frais juridiques seront d’autant plus élevés. Prince Harry : visé par Al-Qaïda ? Au tribunal, Shaheed Fatima KC, avocate du prince Harry, a déclaré que les Sussex se sentaient obligés "de se retirer de leurs rôles de membres supérieurs de la famille royale". La raison étant qu’ils estimaient "ne pas être protégés par l’institution". Selon le média, après la décision du ministère de l’Intérieur, Al-Qaïda aurait appelé à assassiner le prince Harry. D’ailleurs, l’équipe de sécurité du frère du prince William aurait été informée du fait que le groupe terroriste aurait publié un document. Ce dernier disant que "l’assassinat du duc de Sussex plairait à la communauté musulmane", avait déclaré Shaheed Fatima KC au tribunal.