Sous le feu des critiques après avoir participé à la dernière capsule Blue Origin, la superstar américaine n’exprime aucun regret, mais déclare « ne pas être parfaite ». PEOPLE - Katy Perry n’est pas allée dans l’Espace pour souffrir, OK ? Ce mercredi 30 avril, la superstar américaine de 40 ans a donné de ses nouvelles à ses fans, réagissant à demi-mot à l’avalanche de critiques qu’a suscitée sa participation au dernier vol de la capsule Blue Origin. « Sachez », écrit-elle, qu’elle va « bien ». « J’ai fait un gros travail pour apprendre à me connaître, savoir ce qui est réel et ce qui est important à mes yeux », souffle-t-elle dans un commentaire sous une vidéo du compte Instagram @katyperrybresil, qui la félicitait pour le récent lancement de sa tournée The Lifetimes Tour. Elle précise : « Mon thérapeute m’a dit il y a quelques années quelque chose qui a changé la donne : “personne ne peut vous faire croire quelque chose à propos de vous-même que vous ne pensez pas déjà de vous-même”. Et si jamais j’ai des interrogations à ce sujet, c’est l’occasion d’enquêter sur le sentiment sous-jacent. » La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous. À la mi-avril, la chanteuse était de l’équipage 100 % féminin du 11e vol à 105 km au-dessus de la Terre organisé par la société Blue Origin, propriété d’Amazon. Un vol de seulement onze minutes sans intérêt pour la science, au cours duquel Katy Perry a surtout fait sa pub. À quel prix ? Un lancement de fusée génère en moyenne 93 tonnes de CO2, soit 15 tonnes pour chacune des six passagères. Une critique faite en masse contre la star, qu’elle a balayée d’un revers de main, ce mercredi. « Quand le monde en ligne essaie de faire de moi une piñata humaine, je prends ça avec grâce et je leur envoie de l’amour, parce que je sais que beaucoup de gens souffrent de bien des façons, et qu’Internet est - en grande partie - un défouloir pour les âmes perdues et non guéries », tacle-le. Avant de conclure : « Je ne suis pas parfaite. J’ai d’ailleurs supprimé ce mot de mon vocabulaire. Je suis dans un voyage qui joue le jeu de la vie avec un public nombreux. Parfois, je tombe. Mais je me relève et je continue à jouer le jeu. » Sans prononcer d’excuses ni de regrets, elle se dit « battue et meurtrie », mais « regarde toujours vers la lumière ». Si le monde lui est tombé dessus après le décollage, quelques rares voix ont tout de même tenté de calmer le jeu. C’est le cas d’un chroniqueur du magazine Variety, selon qui le fait qu’elle soit devenue la risée de tous n’a fait que prouver son statut de star. En France, Cécile Duflot a pour sa part rappelé sur Instagram que blâmer la seule Katy Perry pour ce vol revenait à détourner les yeux du vrai problème : le saccage de la planète par les 1 % les plus riches. Suffisant pour éteindre l’incendie contre la chanteuse ? Pas vraiment. Cette polémique s’ajoute à la liste d’une longue série de controverses et d’échecs depuis sa tentative de come-back avec la sortie de son dernier album 143, dont les ventes, elles, n’ont jamais décollé. À voir également sur Le HuffPost : La lecture de ce contenu est susceptible d’entraîner un dépôt de cookies de la part de l’opérateur tiers qui l’héberge. Compte-tenu des choix que vous avez exprimés en matière de dépôt de cookies, nous avons bloqué l’affichage de ce contenu. Si vous souhaitez y accéder, vous devez accepter la catégorie de cookies “Contenus tiers” en cliquant sur le bouton ci-dessous. plus : Inscrivez-vous aux newsletters du HuffPost et recevez par email les infos les plus importantes et une sélection de nos meilleurs articles En vous inscrivant à ce service, vous acceptez que votre adresse mail soit utilisée par le Huffington Post, responsable de traitement, pour la gestion de votre inscription à la newsletter. Conformément à la loi du 06/01/1978 modifiée et au Règlement européen n°2016/679/UE du 27/04/2016, vous bénéficiez d’un droit d’accès, de modification, de portabilité, de suppression et d’opposition au traitement des informations vous conc